On ne se déplace plus aujourd’hui comme on le faisait hier. Nos habitudes évoluent, nos trajets aussi.
Il existe désormais plusieurs options pour se déplacer au quotidien selon nos besoins, nos contraintes, nos priorités : marche, vélo, transports en commun, voiture partagée…

On parle de multimodalité, parfois d’intermodalité, ou encore d’offres combinées.
Mais que recouvrent réellement ces termes dans le cadre des transports ? Et quelle est la place de l’autopartage dans cette nouvelle organisation des mobilités ?

Multimodalité, intermodalité : c’est quoi la différence ?

L’autopartage : une solution parfaitement complémentaire

Chez Citiz, on ne pousse pas à prendre la voiture. Bien au contraire. On encourage d’abord à marcher, à pédaler, à prendre le train ou les transports en commun. La voiture partagée vient en dernier recours, pour les trajets où ces modes ne suffisent pas.

Besoin d’aller à la campagne, transporter un meuble, faire une tournée de rendez-vous dans des zones peu desservies ? La voiture devient utile… mais sans avoir à en posséder une. C’est là que l’autopartage prend tout son sens : une voiture quand il faut, juste le temps qu’il faut, sans les coûts ni les contraintes de la propriété.

Et ça fonctionne. D’après l’Enquête nationale sur l’autopartage en boucle menée par l’ADEME, les utilisateurs de services comme Citiz changent leur façon de se déplacer :

  • +38 % de marche,
  • +22 % de vélo,
  • +18 % de transports en commun,
  • +29 % de train.

Autrement dit : moins de voitures, mais plus de mobilité. L’autopartage ne remplace pas une habitude, il transforme tout un mode de vie.

Une mobilité fluide avec des offres combinées

La multimodalité ne repose pas que sur les choix individuels. Elle se construit aussi grâce aux coopérations locales. Dans de nombreuses villes, des offres combinées permettent d’utiliser les transports en commun, les vélos en libre-service, et parfois même l’autopartage avec un seul abonnement ou à tarif réduit.

À Strasbourg, le Pass Mobilité regroupe les bus et trams CTS, les vélos Vélhop et les voitures Citiz. À Toulouse, le Pass Écomobilité combine l’abonnement Tisséo et l’accès à l’autopartage sur une seule carte. À Grenoble, les abonnés M réso bénéficient d’avantages tarifaires sur Citiz et Mvélo+. À Bordeaux ou Besançon, les formules TBM+Citiz ou Ginko+Citiz rendent l’autopartage plus simple et plus accessible.

Citiz fait partie de ces écosystèmes locaux, aux côtés des transports en commun et des services publics de mobilité. L’autopartage s’intègre ainsi naturellement dans une offre complète, pour que chacun puisse bouger autrement, selon ses besoins.